Par la présente, le LCGB souhaite manifester son désaccord par rapport aux affirmations faites dans les médias par Monsieur Michel Reckinger, dirigeant de la société Reckinger Alfred S.A., au sujet de l’attitude des syndicats dans le cadre de la faillite Thermolux.
A ce sujet, le LCGB tient à préciser qu’il est bien conscient des frais et des conséquences d’une faillite pour la collectivité, mais bien plus encore pour les salariés concernés. C’est une des raisons pourquoi le LCGB œuvre depuis quelques années déjà pour une plus grande sauvegarde de l’existence des salariés du secteur privé et tout particulièrement des salariés victimes d’une faillite.
Pour mémoire, le LCGB propose un modèle qui vise la mise en place de structures de « gestion des sureffectifs » comparables à la cellule de reclassement (CDR) dans des secteurs à homogénéité élevée (p.ex. artisanat, construction, banques et assurances, etc.). Le but de ce modèle étant d’éviter que les salariés victimes d’une faillite tombent durablement au chômage et de leur proposer une alternative qui leur permet de rester employés respectivement de continuer à exercer une occupation sensée et décente.
La politique syndicale du LCGB met l’Homme au centre de son action. L’Homme étant à la base de la collectivité, il est notre devoir de trouver des solutions appropriés qui permettent d’éviter une montée sans cesse du chômage et de garantir la sauvegarde de l’existence des salariés et de leur famille. Ceci aussi bien dans l’intérêt de la collectivité et de la personne concernée directement par une perte d’emploi.
Les faits évoqués dans les médias ne reflètent nullement la politique syndicale menée par le LCGB.
Communiqué par le LCGB, le 25 juillet 2014The post Le LCGB ne fait pas de politique syndicale au détriment des salariés appeared first on LCGB.
